000 04018cam a2200481Ma 4500
999 _c111328
_d111328
003 BJBSDDR
005 20230411090032.0
007 ta
008 050525s2003 fr ab 001 0 fre d
020 _a2746701626
020 _a9782746701625
029 1 _aZWZ
_b07273793X
035 _a(OCoLC)ocn319853908
035 _a(OCoLC)319853908
040 _aOTP
_bfre
_cOTP
041 1 _afre
_heng
049 _aGRAL
050 1 4 _aV 799
_bH646g 2003
082 0 0 _a359/.009/034
100 1 _aHill, J. R.
_d1929- 2017
_q(John Richard),
240 1 0 _aWar at sea in the ironclad age.
_lFrench
245 1 4 _aLes guerres maritimes :
_bla marine á vapeur /
_cRichard Hill ; traduit de l'anglais par Bruno Krebs ; revu par Michele Battesti.
246 1 _iTitre au dos:
_aGuerres maritimes, 1855-1905
246 1 _iTitre de la couv.:
_aGuerres maritimes :
_bla marine á vapeur : 1855-1905
260 _aParis :
_bEditions Autrement,
_c2003.
300 _a224 p. :
_bill. (certaines en coul.), cartes ;
_c28 cm.
490 1 _aAtlas des guerres
500 _aTraduction de : War at sea in the ironclad age.
500 _aComprend un index.
504 _aBibliogr.: p. 218-219.
520 _aAu XIXe siècle, les grandes marines d'Europe connaissent une extraordinaire révolution. Durant la première moitié du XIXe siècle, la hiérarchie navale est dominée de façon hégémonique par la Grande-Bretagne, face à une France maritime sortie déchue des guerres de la Révolution et de l'Empire. L'épine dorsale des flottes est alors le bateau en bois et à voile et la Grande-Bretagne, bien que première puissance industrielle, répugne à intégrer le progrès technique par crainte de ruiner sa prééminence. Or, un demi-siècle plus tard, la marine française s'est hissée à la seconde place dans la course et couvre de son pavillon tous les océans du monde avec la ferme intention d'exploiter sa position de challenger. Elle perturbe l'équilibre naval, prépare la revanche, défie la toute-puissante Royal Navy. Jouant la carte de l'innovation et de la propulsion vapeur, la France des "modernes" invite à explorer et à appliquer les filières de l'innovation : l'hélice, l'obus explosif, les constructions métalliques et le blindage. Avec le Napoléon, la France prend la tête du progrès technique. La propulsion à voile devient secondaire et la Royal Navy est ridiculisée quand le Napoléon laisse sur place les voiliers de sa majesté. La marine de guerre est alors le premier instrument militaire qui intègre les avancées de la révolution industrielle. Incontestablement commandée par les mutations du cuirassé, la seconde moitié du XIXe siècle est faite de tâtonnements d'impasses, de retours en arrière. La voile paraît condamnée mais ne disparaît que dans les années 1880. Quant au cuirassé, il devient peu à peu un monstre coûteux, détrôné par le torpilleur. La Première Guerre mondiale sonne définitivement la fin du cuirassé, au profit d'une arme nouvelle qui s'apprête à révolutionner les puissances maritimes du XXe siècle : le sous-marin. Dans cet ouvrage abondamment documenté, Richard Hill analyse les enjeux des grandes marines d'Europe, leurs expansions, leurs innovations techniques, leurs stratégies. Un panorama et une analyse détaillés de la course à laquelle se livrent, dans la seconde moitié du XIXe siècle, les grandes puissances maritimes d'Europe - la France et la Grande-Bretagne - et qui annonce les principales forces politiques et militaires du XXe siècle.
650 4 _aBarcos de guerra
_923055
650 4 _aBatallas navales
_915477
650 6 _aNavires de guerre.
650 6 _aArt et science navals
_xHistoire.
650 4 _aMarines de guerre
_y19e siáecle
_xOuvrages illustrâes.
650 7 _aBateaux áa vapeur.
_2ram
650 7 _aBatailles navales
_y19e siáecle.
_2ram
700 1 _923056
_aKrebs, Bruno
_etraductor
830 0 _916653
_aCollection Atlas des guerres
942 _2lcc
_cBK
946 _amm